LES DÉCHETS JETÉS DANS LA FORÊT ET LE LONG DES CHEMINS, CA SUFFIT !!!
Des promeneuses se sont émues de l’encombrement du bord des diverses voies par des objets de toutes sortes (bouteilles en verre, en plastique, canettes, masques, objets divers en plastique etc…). Elles ont donc décidé, au cours d’une de leurs promenades, de se munir d’un sac pour enlever ces déchets; petit à petit cela a pris des proportions plus importantes puisque, le long de la route menant à La Vallée, elles ont rempli, ultérieurement, 8 sacs de détritus divers , un autre jour, 2 sacs le long de l’Eure, puis 6 sacs le long de la route des carrières, en tout, à ce jour, plus de 22 sacs et au moins 60 bouteilles en verre.
A noter que toutes les personnes rencontrées au cours de ces ramassages ont salué cette action. Espérons qu’elles aussi, à l’avenir, se muniront de sacs pour prolonger cette action dans l’intérêt de tous : Les dépôts de déchets « attirant » d’autres déchets, on peut espérer que des lieux propres inciteront les « pollueurs » à ne plus rien jeter inconsidérément. Amis promeneurs, n’hésitez donc pas à vous munir d’un petit sac lors de vos balades pour ramasser quelques déchets afin que nous puissions nous féliciter ensemble d’une nature propre.
Rappelons au sujet de ces déchets, qu’au mois de juillet 2018, Thierry Valès a fait paraître dans le Com’Infos l’article ci-dessous, qui reste malheureusement d’actualité.
INCIVILITÉS Il fut un temps pas si lointain, où la forêt de Bord était un lieu bucolique que les martotais et les martotaises prenaient plaisir à parcourir. Aujourd’hui, force est de constater que l’incivilité de certaines personnes transforme cet espace boisé en déchèterie sauvage en n’hésitant pas à décharger des gravats de toutes sortes au bord des chemins et aux entrées des chemins de randonnées pédestres. Si la nature appartient à tout le monde c’est pour que tous nous la préservions et non qu’une minorité la dégrade. Il est bon de rappeler à ces pollueurs que la dégradation qu’ils font de la nature l’est au détriment de leurs propres enfants.